Archives par mois : octobre 2021

Je nanaphore à renfort de metaphores,
Métamorphosant paysages et amphores
Vaseux en vers finement ciselés.
J'antonomase les oiseaux en des voyages
Migratoires sur les feuilles au vent soufflant :
S' encrent alors des paysages
Marins en hommage déferlant.
J'aphorisme, à renfort de lrysme,
L ingénue simplisme
Des vers synthétiques :
These, antithèse, fouthese
De la verve amphigourique
Ornent les pensées batifolantes.

Le temps est, passé , en courant d'air,
Et, a laisser dans le sablier,
Quelques fils de Soi crépusculaire :
Le temps, hier encore, en se retournant
A eu le souffle coupé
Par la beauté des vents,
Qui grondaient dans les yeux des anciens :
Se déroulaient alors des parchemins
Dans leurs pupilles aux humeurs d'antant.
Des mondes du temps jadis Perlaient alors
À Leurs yeux désormais endeuillés
Par des Images figées dans leurs iris d'or.
Le temps, dans ce ciel dhiver immaculé,
Est resté Christalisé
Dans le dernier souffle d'un soupir

Pizza au feuillage multicolore,
Tu persilles mes yeux de mets somptueux.
Des allées d'ingrédients sonores,
Raisonneront en mon palais :
Flamboyantes promenades auberginées,
Sachêvrant en crottin parfumé
Grisent mes sens espiègles :
Tu fonds comme l'aigle,
Sur mes papilles
Qui babillent.
Et, des herbes aromatiques
Qui parsemment ces recettes antiques :
À faire damné un dieux Grec.

La montagne a remonté son col pour l'hiver
et, a du refermer sa pelisse blanche
sur le ruisseau, de fin fil d'argent recouvert.
le ciel laisse paraître sa détresse et épanche
son chagrin sur les sentiers marécageux.;
Les oiseaux, quant à eux,
n'entendent plus le doux chant cristallin des eaux
et devisent avec le vent qui souffle tout haut
ses lamentations:
L'air printanier du renouveau
a laissé là les roseaux,
pris dans un cercueil de glace ;
ciel et terre, en une longue étreinte, enlacent
leurs humeurs de fleur fanées :
les brumes matinales, encore endormies,
ont du mal a se tirer de leurs rêveries.
Mais, bientôt, la terre détrempée
de tous ses aveux,
verra renaître les amoureux.

Les vers me dévorent
De l'intérieur. Carnivores,
Ils se repaient de mes entrailles.
À mes maux, les intestincts déraillent :
Arbre aux reflêts versdâtre,
De corps d'apllon et d albâtre
Fleurissent en mas flore intestinale.
Et, lorsque la messe vesperale
Des litanies du cœur sébroue
En des remontées astronomiques,
Des vers astrastrals érgonomiques
Epenchent leur aigreurs biliaire.
Les vers m'éviscèrent
En des bulles papotés

La seine endormie, dans son lit
Aux reflets, cette nuit,
Bien nuageux,
A eu un réveille bien soucieux ;
De fumé en vagabonds
Elle se ride au safran de l'aurore
Dans la ville qui jamais ne dort.
Sur le pavé incertain
De ce petit matin
Les rues Raisonnent
Du glas qui sonne :
Un homme a été retrouvé ;
Il s'est, hier soir, jeté
Dans ce qui, sera pour lui,
La dernière seine de sa vie
Les nuages, indifférents
À ce cri dans la nuit,
Continueront leur course
Inlassablement.

C'est l'automne dans la ville :
Il pleure dans le cœur des passants
Comme dans nos cieux serviles :
Il pleut dans le cœur des passants
Trépassant trop vite dans les rues grises
Et soumises aux pas indifférent et blessant.
La rose, sur le pavé dépravé est délaissée ;
En son dernier râle, soupirent les âmes grises *:
Ses pétales, diaphanes, jonchent les regards endeuillés
Par cette pluie inlassable et insondable;
Pareil à un tableau qui pleure,
Les couleurs se fondent, dheure en heure,
À l'eau Dévastatrice et imperturbable.
La rose, entraînée par le courants des pensées,
Après cette longue agonie dans les yeux clos,
Verra cependant, son cœur éclore,
À la pointe des entrelacs d'un pinceau,
Rêveur et songeur, de l'artiste qui dort.

À mon oreille, les bateaux battent pavillon
Des notes amères de leur chant.
Tout en navigant
Sur les vagues de la partition,
S'accrochent alors, à mes tympans
Les image du temps,
Telles les gouttes retenues aux branches.
Translucides à mon cœur qui s'épanche,
Une pluie de paysages vers glacant
S'accordent à la musique des vents.
Les humeurs du temps
rythmeront alors les différent airs :
Et, La verve musicale des grêlons d'hiver
Grelotera en mon oreille
désormais en sommeille.

Je t'aime comme une ficelle,
Comme la prunelle de mes ailes ;
À rompre mon cœur qui bat,
À corrompre mon cœur qui se débat.
Je t'aime comme une hirondelle :
Je sais qu'un jour tu t'en iras à tire d'aile ;
Et je laisserai flâner ton souvenir
Sur les feuille du temps qui soupire.
Je t'aime comme une savonnette :
Insaisissable comme le sable :
Je t'aime à en perdre haleine,
Je t'aime jusqu'à la haine

Ce matin, je suis d'humeur châtaigne.
Le vent d'automne m'aurait fait teigne :
Les plages du temps, sur les feuilles saignent ;
Qu'à ne cela ne teigne
Je prendrai mon plus beau peigne,
Pour coiffer mes illusionq qui s'éteignent :
Je les ferai musaraigne :
Traverser des saisons qui s'étreignent,
Et Oubliant les écarts du temps qui m'atteignent.
Aujourdhui, je suis fumeur de châtaigne:
À la brume des faux semblant qui m'impreignent
Je leur tire leurs enseignent