dans la rue pleine et assourdissant,
elle entendait ces rires sanglants
lui rappelant
sa peine enivrante.
le ciel bleu et pûre
d'un automne frémissant
d'aucun ne surent
ce qui allai se passer.
par ces jours au vent frais
où le crépuscule meurent
lentement dans les branches.
par ces longues heures
l'agonie s'épanche
en des perles flamboyantes.
Archives par mois : juillet 2024
la coccinelle de la mémloire
on s'était pris par la main,
c'était par un beau matin,
de ceux qui se gravent dans nos mémoir'
de ceux que l'on cherche à revoir.
l'aurore avait paré les feuillages
de perles mordorées,
comme un hommage
à sa beauté.
sur sa robe
jonchée de quelques fleurs
que le vent effleure,
une coccinelle
avait ouvert ses aile.
je la revois parfois
qui cherche avec effroi
cet amour enfantin
croisé un beau matin
comme un jour de printemps
elle était belle comme un jour de printemps,
comme un jour chaleureux.
elle avait de ces yeux
qui vous faisaient chavirer au soir tombant.
il cueillit, sur ces lèvres rouge cerise
un baiser d'une douceur exquise.
par ces cheveux ondulant au vent,
il se revoyait voyageant.
vibrant sous le frisson d'un soupir
goutte que goutte
goutte à goutte,
elles inondent le paysage.
en élevage.
du rivage de nos yeux,
elles partent des cieux
goutte à goutte,
elles débordent sur la plaine
quand la coupe et pleine.
goutte à goutte,
le temps s'écoule
écho de l'eau qui s'écoule.
goutte que goutte,
je goutterai ta peau salée
par l'amer de tes pensées.
quoi qu'il en goutte,
je me laisserai aller
dans l'océan
de de mes souvenirs:
ils gouttent, au matin naissant
en des perles de rosée.
goutte à goutte,
je m'enivrai chaque matin
du parfum de ton sourire