Aujourdui c'est samedi,
Et je n'ai vraiment pas envie
Daller, par ce temps au regard froid,
Passer cette journée sans toi.
Mais, depuis quelques jour,
Mes maux sont pleins d'amour
Ils me permettent d'affronter,
Ces dures journées.
Aujourdhui, c'est samedi,
Et, c'est le regard enseveli
Par la mémoire de mon lit
Que je m'en vais dans cet air froid
Passer ces longues heures sans toi.
Archives par mois : janvier 2023
Les neiges du soir
Dans les neiges du soir,
Les ailes bleutés des oiseaux
Troublaient les fraîches eaux.
De leur battements plein d'espoir.
Regardant par la fenêtre,
Ils voyaient la chaleur
Des flammes, dansant , au files des heures
Sur les mures des radiateurs
Leur yeux ctepitaient de froid
Et, par le bec gelés
Tapaient aux carreaux des maisonnées,
Car par ces temps, ils étaient sans toît.
Connexion au reseau
Avec mon réseau dérangé
Le partage de connexion
semble être sous tension
Des branchements vont s'opèrer :
Ma carte mère va s'activer :
Quelques soubresauts électriques
Font déjà savoir laventute fantastiques
Qui va se jouer dans ma carte mémoire.
De nouveaux fichiers électriques
Vont apparaître dans le soir
La rose au jour naissant
J'ai cueilli dans l'aurore naissant
Ton amour charmant.
À la lueur de tes lèvres rouge sang
J'ai vu tout une vie passant
Sous le poids frêle de ton regard,
Je m'abrtie du souffle du temps
Oubliant, un instant,
Que bientôt mon teint, blafard,
Endeuillerai les pensées.
J'ai cueilli, à l'aurore naissant,
Une rose à peine éclose
Dont les pétales bruissaient
À peine de leurs premiers mouvements
Mes lunettes
Dans la brume de mes lunettes
Je n'y vois pas clair :
Au grand air
De ces matins aux feuilles brunettes
Je n'y vois guerre
À travers mes vers ;
Est ce un sourir ou un soupir
D'un passant qui se désole,
Qu'importe je ne vois que des rires
Et, cela me console.
Je n'y vois guerre plus loin
Que le bout de bon nez,
Que le bout de ce chemin.
Et, il n'est pas grand, mon nez,
Mais qu'importe,
Dans la brume de mes lorgons
Qui me rend parfois grognon
Je peux inventer toutes sortes
De vies;
C'est pourquoi, même si je n'y vois rien
Et que parfois cela me cause du chagrin
J'ai choisis :
Je garde mes verreries
Aux brumeuses rêveries
Le naufrage des années
Dans le bleu nocturne de cette nuit s'agitaient, en panoplie,
Son tempérament de pluie :
Le chant funèbres des roses noires,
Endeuillant ses yeux clos,
Parant ses cils du soir
De ce lourd fardeau.
Dans le bleu nocturne de ses yeux,
Je voyais le nofrage de tant d'années
Qui s'écoulaient.
Le regard du samedi matin
Aujourd'hui, c'est samedi
Et, c'est le regard alourdi
Par un manque évident
De sommeil
Que, au bruit du vent,
Je mets mes rêves en veille,
Pour aller, par ce venteux jour,
Sans espoir et sans amour
Cueillir la brume hivernale :
Aujourdui, c'est un périlleux samedi,
Car la brume matinale
M'invite à continuer mon voyage
Dans les bras doux des paysages
De mes rêves enfantins.
Mais, ces rêves lointains
S'évaporent au son de mon réveil matin...
Patience
Dans l'Immortelle impatience
de la sale d'attente,
J'observais les têtes tremblantes
De ces quidam, attendant avec patience
L'érudit qui viendrait les guérir :
Pareil à un jardin mal entretenu,
Je pouvais lire dans leur iris nue,
Qui du vers solitaire,
Qui d'une bactéries vorace
Avait Flétri leur grand air.
Assis, ils attendaient d'une patience lasse
qu'on les appela enfin.
Puis, surpris par la sonorité salvatrice
de leur nom, ils prenaient le chemin
Du cabinet, pensant revenir à la vie :
Mais, quand leur regard croisait les fleurs coupées :
C'est là qu'ils avaient compris
Pourquoi personne ne ressortaient du cabinets....
Samedi de servitute
Aujourd'hui, c'est samedi
Et j'ai du mal à reprendre le pli :
Encore dans les bras heureux
De Morphee enlacée,
Mes paupières restent fermées
À l'appel chantant du labeur
Le coq a repris ses esprits
Et hurle, à mes sens alanguis,
Toute sa détresse matinale
Aujourdui c'est samedi,
Et c'est le visage pâle
Que je reprends les habitudes
De cette Lourdes servitude
Clarté d’une nuit d’encre
Dans la froide clarté,
D'un matin decharné,
Il Avancait son regard
Sous les rayons blafards
Des yeux inquisiteurs
Des réverbères gelées :
Tournant sa patience en sueur
Pareil à un fauve blessé,
Il regardait l'encre s'écouler
En des lettres et des mots
Il avait du sortir de ce flot
De parole pour reprendre ces esprits
La fièvre de l'écriture l'avait gagné :
Des sillons d'encre cicesslaient ses pensées :
Plantes et arbres avaient fleuries
Dans la solitude dune nuit blanche