flamboiement du soir

dans la rue pleine et assourdissant,
elle entendait ces rires sanglants
lui rappelant
sa peine enivrante.
le ciel bleu et pûre
d'un automne frémissant
d'aucun ne surent
ce qui allai se passer.
par ces jours au vent frais
où le crépuscule meurent
lentement dans les branches.
par ces longues heures
l'agonie s'épanche
en des perles flamboyantes.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>