Le lardon, gras et obèse, a été sollicité
Sa forte stature et son verve peu courtois
En impose à tout ce gratin dauphinois
Car aujourd'hui, c'est jour de félicité
Et, pour ce jour fastueux,
Tout le gratin de la côte a été invité.
Des patates, aux air vaporeux,
Des gens bons un peu obsquieux
Parés de leur bons mots piquant
Et fardé de leures illusion,
Ils espèrent faire forte impression
Le lardon, quant, à lui, inconstant,
Se délecte de tout ce gratin,
Dégoulinant de vaniteuse chaire.
Archives par mois : février 2022
Sur le rivage des plages
Sur le rivage des plages des temps amères,
Il y a des étoiles qui rêvassent
À l'écume des vagues à l'âme de la mer.
Sur le rivages des vagues pugnaces,
Les paysages reflètent l'agitation
Des mère intérieures en des rides soucieuses.
Sur le rivage de ces Yeux,
il y a des vagues Au destin fabuleux
Qui écument les l'arme de fond.
Des voyages Indescents de beauté,
Où, les oiseaux et les poissons
Mêlent leur Éternelle liberté.
Sur le rivage des plages,
Le temps se laisse bercer
par l errements inlassable des âges
Promenade
Dans l'ennuie linéaire de mes journées
Et sous le ciel monochrome et toujours gris
De la merveilleuse ville qu'est Paris,
Je ne foule plus les rues de mon quartier
Car , voyez vous, dehors c'est encor 'la guerre
Et, j'imagine les chants de naguère
Ensanglanter les rues de leurs pas funèbres.
Si je remonte l'histoire, le célèbre
Amiral conte De la bourdonnais
Nous Fait entendre ses déconvenues
Sur cette belle grandes avenue
Si, il me donnait l'envie de flâner
Vers le milieu du 18 ème
Cristal
Il fait un froid polaire Dans l'or bleue pâle
De ses yeux aux couleurs de pierre tombale .
Les jours heureux se meurent dans son cœur froid
Et glacé comme ces nombreuses nuits d'hiver
Et, ces Iris, veuves de toutes images printanières
Se fanaient à ces mots ardent et dur comme la pierre.
Son regard fosoyeur, armait sa verve cauteleuse :
Ses manigances étaient à la hauteur de ces émotions osseuses
Et, dans le silence de sont regard glaçant
Des êtres périssaient à ses mots blessants.
Puis, le vent de la sagesse
Avait séché les engelures
De cet être au cœur aussi dur.
Mais, les années aussi avaient passé ;
Et, c'est dans l'amertume de ces regrets,
Qu'il s'éteignit dans la plus grande solitude.
Mon Marsupilami
Je n'ai jamais parlé de mon ami,
Mon très fidèle marsupilami.
Toujours avec moi
Même dans le désarroi,
Son sourir figé d'enfant,
Loin du monde des grands
Et de toutes ces manigances :
Quel monde d'insouciance
Quand je le vois,
Mais c'est un tel voyage
De le serrer dans mes bras :
Pleine fertile de paysages
Où il ne fait jamais froid.