Archives par mois : avril 2021

Mes mots azurés font rougir votre joli thym
Et votre Immortel innocence, innonde vos Iris.
Que d Impatience fut, pour moi, ce délicieux supplies.
Vous, Belle de jour et languissement de mes matins,
Votre regard si lys de jouvencelle
Mon destin, en vos yeux, scelle

Mes mots azurés font rougir votre joli thym,
Et votre Immortel innocence, innonde vos Iris.
Que d Impatience fut, pour moi, ce délicieux supplice .
Vous, Belle de jour et languissement de mes matins,
Votre regard si lys de jouvencelle,
Mon destin, en vos yeux, scelle.
Vous êtes celle que j'attendais :
Dans mes nuits les plus chagrines
Je revois encore vos lèvres purpirines
De coquelicot que la rosée
Vient de faire éclore
Dans mes pensées
Muliticolores.

Métro, boulot...
Frigo!!
Avec ces temps de confinement
Les gens ont pris du poids.
Et, je les comprends!
Ce confinement est pesant
Il s'étend en une monotonie
Insidieuse, de silence endimanché.
Un silence, chronophage et pesant.
À tourner en rond dans mon 17m carré
Dans mon esprit délirant,
Entre 4 murs.
Le silence entre 4 murs
Me pèse.
Surtout qu'il commence à prendre ses aises.
Un silence pesant a emménagé chez moi,
Et il ne paie même pas de loyer !!!
Pour me venger je m'en vais festoyer
D épinards et de petit poids :
Le poids du silence me pèse.

En bas de chez moi,
Il y a un beau miroitier.
Et, c'est toujours l émoi
En mon cœur supplicier
Quand mon cœur l'aperçoit.

Toujours à ses réflexions,
Je ne sais comment attirer son attention.
Difficile de briser la glace
Quand, mes sens, gelés par la froideur de son orgueil,
Titanise de timidité mon audace d'habitude si loquace

Aujourd'hui, je vais voir mon banquier
Au regard bleu acier.
Habillée de ma robe porte feuille,
Je sens son ambition aiguisée
Déshabillée, feuille à feuille,
La pudeur de mon solde.
Et, c'est sur ce seuil,
Que jaccorda du credit
À ces fariboldes
C'est donc sans vergogne
Quil s'empara de mon innocence !!
Il suscita, de par mon ignorance,
Mon intéressement par des billets doux
Dont, je ne puis voir la mascogne.
Aucun hommage, sur mon compte,
Ne me fut épargné.
Et, tout ce qu'il débitait,
Était, pour moi comme un conte.
Subjuguée par son verbe si flatteur
Je m aperçus, au bout de trois heures,
Que mon solde, sans aucune retenue,
Fut mis à nu !

La bile, c'est dernier temps,
À perdu la foi
Et, ma foi,
Je la comprends !
Il y de quoi froler la gastro
Avec cette météo
Et que dire de l'indigestion de règlement
Qui dérèglemente notre digestion.
Il n'y a plus beaucoup de solution,
Pour notre bile qui, malheureusement,
Finirait par en devenir débile.
Notre foi devient elle débile ?
À ne plus savoir qui croire.
Pourtant, des abreuvois
D'informations
Ce n'est pas ce qui manque.
...

J'aurai aimé étre le plus beau de tes poèmes,
Être le plus doux de tes matins enivrés,
Etre, à ton réveil,
la première caresse de tes yeux alanguis
Être ton Impatience, fleurir ton jardin secret de mes douces pensées.
Ton rêves à jamais inasouvi.
La douceur de ton for intérieur