Archives par mois : janvier 2017

L'harmattan
Il a sorti, l'arme à temps ;
Il est temps que ces écris
soient choisis par le conseil
de l'harmattan.
Il s'arma tant de patience,
Que ces textes ont mis en éveil
La science de sa plume
et la sagesse du conseil :
La nuit porte conseil,
Et la gloire sonne à sa porte.

Je vais vers eux :
Je m'aperçois
Qu'ils sont véreux
Il file de la soie
avec nos affaires :
il s'affaire à
à ses études de cas :
Il a sans arrêt
son nez dans le Code
Son corps est rompu:
l'étau (les taux)
se ressert ;
Il fait alors l'article
de ses lettres de noblesse
mais le bas blesse :
il a bus
de la Vodkas russes :
par ces ruses
il abuse
du corps
et se ressert :
C’est ce qui s’appelle
Jouer serré
En chantant.
Mais nous,
Cela nous enchante pas

sur les bords du regard, l'on peut y deviner
parfois beaucoup de soucis :
et les yeux nous jettent ce bouquet à la figure
je dirai même qu'il nous les lance et nos yeux à nous
essaie d'attraper ce bouquet mais, avec nos yeux de mérlan frit
nous le rattons et l'autre regard comprend : il abbat le poisson
en nous fusillant du regard : le chien du fusil va alors chercher
notre poison, que nous avions au fond des yeux
et le ramène auprès des autres yeux
les regards se retrouvent entre 4 yeux......

le centre de l'attraction était la gravité de l'infinis
il nous attirait dans les limbes de nos songes les plus fous
et les mots gravitaient autour de certains termes emplis,
d'une certain sagesse, je l'avoue.
mais certains termes n'étaientt pas en bon termes avec les cieux
et des orages d'incertitude tempêtait sur la rive de nos yeux :
ils lézardaient nos pensées cosmiques
la lune, toute de miel vétue
pour fleurter avec de telles vertues
a du se recueillir sur le tombeau des décepitions
et le ciel à quitté sa robe d'été :
une pluie d'étoile a ravivé nos imaginations :

le centre de gravité, été hier,
bien haut, pour nous mener dans les airs :
on essayait de nous faire quitter la terre
pour que nous puissions nous sentire moins terre à terre
et, lorsque la lune est haut dans le ciel,
la marrée est alors au plus bas.
on décris les étoiles avec du miel
pour toucher l'infini et on le se débat
avec les mots pour le décrire :
l'infini nous fait écrire
tellement de chose, il faut dire,
que nous avont la place, tellement il est vaste
on pourrait, le décrire à l'infini
mais meme avec moulte déscription, on castate
que l'on aura jamais finit
l'infini est tellement grand, que ça nous donne le vertige
et l'on se voit tomber de tout la haut,
pour oublier, un moment, les vestiges
de ce qui est en bas, de nous dévétir de nos oripaux
terrestre pour nous élever, et nous révèler nous même
.....

en hiver, il est dur d'être un poète
souvent ils ont bien froid au pied :
et donc se doivent de faire des girouêtes
sur leur pensées parfois givrées :
et, sur leurs reflexions versglacantes
ils patinent, laissant en suspend
leurs songes congelés qui les hantent ;
et, ce faisant, comme tous les ans*
ils ne peuvent plus hélas compter sur leurs pieds
leur poèsie, affaiblie, piquerai du nez
il ne doivent plus que compter sur eux même
pour faire fondre les coeurs de glaces

c'est étrange, d'habitude c'est bizarre
mais, la c'est bizarre ce n'est pas étrange
c'est étrangement normal
cela me fait tout bizarre, cette normalité
peu être par ce que c'est une normalité qui m'est étrangère.
et auquelle je ne susi pas encore habituée
c'est bizarre que je ne soit pas habituée à la normalité
je susi sensée la voir tous les jours
mais chaque jour, pour moi, est inhabituelle
et je ne m'habituerai jamais à tous les jours
c'est pour cela que pour moi, l'étrange est habituel
par ce que chaque jour n'est pas tous les jours
chaque jour a sa par de bizarrerie
des bizarreries, certe habituelle,
mais des bizarreries différente et étrangères
à la bizarrerie précdentes
chaque jour bizarre pour moi, est normal :
c'est encore plus normal
quand ce n'est pas la même tous les jours
c'est donc inhabituelle quand il n'y a pas de bizarrerie
c'est étange, quand tout me semble appaisé et calme
c'est étrangement anormal que ce ne soit pas bizarre
:)

j'ai trouvé, au fond de mon verre,
une fleur aux feuilles jaunies
par les blanches saisons au doux air
de mélancolie
j'ai vu courir, à travers ses lignes,
le temps qui m'échappait ; il ondoyait
à travers de vaste prairies de rêverie
et j'ai cueilli, dans ces cépages,
des pages et des pages de mes années endormies :
doucement, elles se sont réveillées
et on fleurté avec la feuille jaunie
faisant naître un temps que je n'aurai jamais pu imaginé
....
j'ai trouvé au fond de mes vers
des songes, que depuis longtemps
je n'aurai jamais pensé revoir

le rien, alors est empli de choses et d'autre
il est bien loin d'être vide, le rien
il a beaucoup d'atouts,
quand il est un brin rêveur :
il contient tout
et bien plus encore
et alors, on peut l'imaginer partout
sans jamais le voir :
dans le tout,
on ne voit jamais vraiment rien de bien précis
mais il est fait de plein de choses
qui font toute une vie
de ces petits riens
qui font que quelqu'un,
pour nous, est tout

un tout petit rien à fait de ma vie
un véritable défis
au, pas grand chose, juste un tout petit rien,
suffisant, cependant,
pour que ce rien soit pour moi, tout.
il est pour beaucoup, rien du tout
mais pour moi, tous les jours je l'entends
et tous les jours je n'entends presque rien
un rien me surprends
et je crois alors que je comprends
le tout du rien.
le rien est tellement vague
qui'l peut tout comprendre
surtout quand le rien  divague,
quand on parle de tout et de rien.

.....