Archives par mois : mars 2015

L’organisation des chaines

La science se déchaine ;

Les hommes y travaillent, s’organisent :

Ils sont vaillants.

Mais, Ils finissent par être enchainés.

Ils n’entendent plus les sons des montagnes,

Mais ceux des chaines et des beaux parleurs

Qui finissent par les abaisser.

Même le chêne tombe de haut,

Au risque de rompre la chaine

Le bout de la règle.

Je suis à bout.

Ils essaient de régler les faits :

Ils parlementent ;

Les faits font la navette.

Et au bout,

La règle.

Mais, on lui conseil de se constituer autrement :

Elle n’est pas nette.

Puis, le règlement :

Il réglemente la règle,

Au risque de changer son état.

Surtout quand les finances sont dans tous leurs états :

Elle doivent financer la mise en place de la règle,

mais la règle finance la mise en place des finances.

Qui de la règle ou de la finance ?

Toujours est il, que sont des aigles (rapace)

qui délibère et pense nous libérer :

Mais surtout, ils se regardent

En aigle de fayence :

et se gardent bien de s'aider, et de céder :

Ce sont les finances, qui risquent de décéder.

Elles font la loi,

j'ai les yeux brouillé :

je marche sur les oeufs du hasard.

Il poche mes yeux d'incertitudes

comment saisir ma destiné ?

J'ai les yeux mouillé

quand je vois que le fruit du hasard

à empoché toutes mes certitudes.

Seul le hasard connait ma destiné ?

Mes yeux ont fouillé

les desseins du hasard :

mes poches sont pleine de lassitude

destinée du hasard ou hasard de la destinée ?

Mes yeux se sont brouillés

avec les plans du hasard :

je pensais ne pas avoir mes yeux dans ma poche

vie insensée, m'étais tu vraiment destinée ?

Mes yeux ont pourtant gazouillé

quand mes dessins étaient fait au hasard :

j'achetais mes rires chat en poche :

ma naïveté à été emportée par le fleuve de la destinée.

Mes yeux sans cesse veulent dépouiller

les oeuf du panier du hasard ;

j'y suis de ma poche.

Fait glisser le voile de la destinée

Destinée, ne disparaît pas en un clin d'oeil

mais fait moi des clins d'oeil :

je suis enclin à attraper un rai de lumière :

je te ferai les yeux doux.

Dieu, tire tu les files d'or de la vie ?

Pourquoi la mienne ne trouve telle pas Grace à tes yeux

Je dors sur le fil de l'espoir

qui sans cesse se défile à mes yeux.

Au dieu, ne le soit pas avec ces vies que tu as toi même voulues ?

 

 

le printemps ouvrant ses ailes fleuris

inonde la terre d'un doux parfum

de renouveau et les rêves alanguis

du temps mis en veille chante ce refrain.

déja le l'hiver sanglote dans la prairie

laissant ruisseler dans l' arbre ses souvenirs.

ils les  met en terre pour qu'ils puissent devenir

des  pensées éclatantes de nostalgie.

.....

 

la mode est en forme : tout le temps une forme,

nouvelle, va réformer l’ancienne mode

pour créer un nouveau style ; et un code

va marquer les esprits de l’ancienne forme.

l’ancienne forme, hélas, n’est plus en forme.

plus à la mode, délaissée par le style,

elle est en mode, pour quelques temps, hors norme.

vivant avec la poussière une vraie idylle.

la mode est devenue une vrai plateforme.

le manque de forme met en valeur la mode ;

la santé, pas très en forme, s'accommode

la femme, pour être à la mode, se conforme

au style de la mode, oubliant ces forment

et son propre jugement, de peu d'être hors normes.

 

 

longtemps je pensais à t’oublier :  je t’aimais

tu me hantais ; puis, tu as disparu.

depuis un certain temps, j’ai oublié

de penser à t’oublier : je ne t’aime plus

tombé dans les limbes de ma mémoire,

tu ressurgis, parfois, sans me prévenir,

tel un monstre marin laissant peu d’espoir

au passé, le temps, en nous, de s’assagir.

 

tu déverses en nous une mère de souvenirs

qui étreint nos sens et s'abime dans la nuit.

chevelalier servant nos peines présentes,

tu plonges notre coeur

dans un temps que nous avions enfouit.

 

 

L'on ma volé ma carte d'itentité.

débousolé par cette perte soudaine,

j'ai donc perdu, ainsi, ce que je pensait

représenter dans la société humaine.

J'avais chez moi une deuxième identité

reposant sur une autre carte quej'ai retrouvé

cette dernière ne différait que de très peu

de celle perdue ; mais j'en restait bien malheureux.

une partie de ce qui fait moi

est séparée de mon corps et se promène

quelque part, sous un autre toi.

l'idée que ma personnalité malmène

mon voleur ma cependantbien réjoui

cette carte reflétée mon identié timbrée

au prix de 25 euros :)

 

une cible a été, étant petite, beaucoup prise pour cible

et ce d'une façon inadmissible.

il est vrai que sa cible se pretait aux as de piques.

pendant longtemps ces as des piques,

ont été sans ceour pour cette cible

la cible, a grandi : elle est devenue inaccessible :

pour cela, elle est faite l'as des piques manqués

insensible à tout ce qui aurait du la marquer;

la cible est desormais aux prises avec les sens,

ne sachant plus quel sens

elle avait droit de leur octroyer.

le coeur de la cible est un champ de bataille

où s'en va guerroyer

les assauts du temps passer ....

Le manque de pot
A voulu faire la peau
A un ambitieux pot
Plein de rêves en fleur
À la racine,
Il devait faire face au leurre
De sa destinée assassine
Le hasard avait des sauts d humeur
Qui mettait à plat tous ses plans:
Pot, marqué du sceau de la malchance.
Dépité, et malgré l ambitions pour ses plans
Il laissa faner tous ces sens
Et tous ses espoirs dévirent empotés
Ensevelis sous le terreau de la déception

 

l'inspecteur mouche 1

l'inspecteur mouche et son coéquipier

le moucheron, était sur une affaire.

il devait arrêter une araignée

qui avait tisser sa toile dans les airs.

ils avaient, sur ces pattes, placé des mouchards

pour savoir où elle emmener ses victimes.

mais, et cela leur foutait le cafard,

il perddait sa trace près de la cime.

l'inspecteur se cassait les yeux pour comprendre

les patte dde mouche des rapports fait par moucheron

dénotant un certain manque de compréhension.

il s'est, de plus, perdu dans les méandres

de la paperasse admininistrative

ce qui bien sur, ralentit la résolution