Le temps est, passé , en courant d'air,
Et, a laisser dans le sablier,
Quelques fils de Soi crépusculaire :
Le temps, hier encore, en se retournant
A eu le souffle coupé
Par la beauté des vents,
Qui grondaient dans les yeux des anciens :
Se déroulaient alors des parchemins
Dans leurs pupilles aux humeurs d'antant.
Des mondes du temps jadis Perlaient alors
À Leurs yeux désormais endeuillés
Par des Images figées dans leurs iris d'or.
Le temps, dans ce ciel dhiver immaculé,
Est resté Christalisé
Dans le dernier souffle d'un soupir