Archives par mois : janvier 2020

Il y a beaucoup de bas dans la vie

Déjà le bea bas qui nous rend bas bas
Les bas de le laine
Et les bas en laine
Des bas tisseur
Vous savez ceux den.bas
Qui tisse
Pour ceux d'en haut
Et y.en.a!!
Des oh.lala
Qui ne sont que tres rarement la d'ailleurs
Ils sont hauts perché s
Y a les haut parleurs
Que lon.necoute jamais
Et les haut paves
Tenus par des bobo
Pas si beau
A la conscience
Dégoulinante dhypocrite
Blalbla

Je te parle, mais tu.necoutes pas.
Tu.n'écoutes pas les paroles. Tu.ne les attrappe pas, toi a qui je parle. Tu.les laisses senvoler au grès de tes intention s
Et aujourd'hui, tu nas pas l'intention dattrapper mes parole s
Ceux sont des paroles en.laire, qui virvoltent mais se tiennent par la main. Car, si lune delle se perd,.cest tout les sens qui se perdent.
Si.une oreille trainent par terre, et ramasse une seule de ces paroles,.sans ces amies,.elle sera trahit.
Et ma pensée, que tu.auras laissee traîner sera récupérée....
Pensee dun.marsupilami

Que des refrains, je ronge mon frein
Une date butoir, abrevoir de savoir.
Insomnie de ses nuits
A qui veut tout reussir.
Que de stress je ne decompresse.
Enfin, cest la litanie, enfin cest fini.
Une note qui rien ne mapporte
Une satisfaction sonne la fin de l'action
Plus daffolement, un.applaudissent
Je vous remercie

J attends, de mon regard hagard, la fin des temps. Je tends mes yeux, sans volonté, vers l'infini. Quittant, sans regret mes regrets, L'infini du temps envahit mon corps. Mes sens glissent avec volupté vers linconscience. Mon.esprtit, frappe de torpeur, fige mon regard et.le paysage, de nuages couverts, se cristallise en.mon iris. Ce dernier paysage, fleuri, se fane a mesure que je perds la vue. Je ne vois plus l'avenir. Linfini sans fin, paisiblement memporte.  Les souvenirs que je nai jamais eu ne verseront plus leur flot de solitude.....

Ce regard sur linfini du temps, je l'attend tant.

J ecris des textes.oh pas forcément des poemes ourles de je t'aime. Juste des textes blafard sans fard. Dun mot, jen fait une histoire, pour asseoir mon imagination. J'écris tout ce qui me passe par la tête. Ouf je ne l'ai pas encore perdue, ma tête,.meme si parfois je me cherche. Dun maux triste et penetrant, jen broude des vers réfléchis doux et apaisant, pour penser mes plaie. Je fais ce qu'il me plait. Avec pied ou sans pied, je n'ai jamais été bonne danseuse et, ces dernier temps, mes pieds me font mal. Comment puis je les chausser dans du vers, si fragile. Je risque de labimer, le vers. Ça en déformer ai le poeme. Quel cruauté pour les oreilles......