Archives par mois : octobre 2020

Deux tasses, se tracassent.
L âge venant, les desires brûlant
De the n'ont plus le droit de cité
Sont Relayées au font du buffet
Elles admirent le merveilleux buffets
Dresse sur la nappe.
Ces superbes agapes,
Quelles ne peuvent dévorer que de loin.
Mais c'est sans se douter
Que tout est dirigé au mètre près
Et le maître, à tout du moins,
Le chef de cérémonie
Est loin d'être prèt

Irrévérencieux,
Si délicieux,
Des motssi crus
Qui lu cru !
Mes yeux,
Pourtant si santacieux
Vous dévorent,
À pleine prunelle.
Votre peau d or
Et votre senpiternelle
Verve irascible
Qui m'a pris pour cible,
Mes oreilles affamées,
S'en délectent.
À plein tympan,
J'entends votre cœur
Qui se veut méprisant
Et qui au file des heures
S'essouffle dans ses manigances.
...

Lucide,
Presque translucide,
De ses pensees transparentes,
Presque apparente,
À tout regard qui sait lire
Qui sait déchiffrer
J'ai su effleurer
Sans blemir
Ton ciel ouvert
À tous les vents
À tout les courants
Tes conflits si divers.
Ils traînent en toi
Ils egrainent leur chapelet de peine
Que tu surmontes avec tant de peine
Le plus souvent tu t'y noies.
Un jour t'es yeux clos
Oublierint ses images fanées
...

Aujourd'hui c'est dimanche,
La delivrance
La douce sentance,
En est mon oreille
À qui mes rêves, loquaces,
Confit mes jours enduilles
Ils sont, ses derniers temps,plein aux as
De turpitudes et c'est avec promptitude,
Qu'ils se déversent en vers sur mon feuillet
Aujourd'hui ce fut un dimanche guilleret
Qui s'est promené , sans lassitude
Il a traîné ses savates
Avec si peu de hate
Qui est la encore, quelques heures
Je profite encore un peu de lui
Et de ses heures qui s'évanouissent dans la pâleue
Du lundi qui arrive timidement, sans bruit

Aujourd'hui c'est décidé, je me décide
J'ai mis du temps à me décider
Pas facile de prendre des decisions
Sutout quand on est de temperament placide
On rumine, on regarde au dessus de la haie
On observe le pour le conte et sans raison,
On se décide mais à quoi ?
On a tellement pese le pour et le contre
Que ça pèse une tonne dans nos cerveau
Un kilo de pour et quelque grammes
Qui, au bout du compte nous montre,
Que le contre n'avait pas le niveau
Pour entraver ce que notre âme
Avait déjà décider
Et moi je me suis décidée , à écrire
Certes n'importe quoi
Mais cest une décision, et elle prête à sourie

Cette année, ce sera octobre vers
Des prairies verdoyantes de mots.
Des pensées à tire l arigot.
Du vers, a n'en plus savoir quoi faire.
Des octosilabes et des alexandrins
Déferleront à l'aube naissant
Et, le tercet, solitaire mais malin,
Jouera sur avec les feuilles son refrain incessant
Des pleines de vert ocilleront au grès des parapluies
Et, quand renaîtront les douces mélancolies amoureuses,
Les rimes embrassees compteront fleurette à nos heures heureuses
....

Je vais ranger un peu ma tête :
Il est vrai, je suis un peu dérangée.
Et pourtant pas si bête.
Mais cela ne va pas s'arranger
Vous savez les trous de mémoire,
On les stock dans larmoire
Et au moment des soldes, c'est le desockage
Ils se mettent dans la vitrine, ils ne sont que de passage
Mais ils désordonne toute ma raison
Surtout, les jours de pluie, cest de saison.
Mon ordre ordonné avec raison
Ma raison dans laquelle j'y mets un peu ordre
Mais un petit grain de folie
C'est bien aussi