À mon oreille, les bateaux battent pavillon
Des notes amères de leur chant.
Tout en navigant
Sur les vagues de la partition,
S'accrochent alors, à mes tympans
Les image du temps,
Telles les gouttes retenues aux branches.
Translucides à mon cœur qui s'épanche,
Une pluie de paysages vers glacant
S'accordent à la musique des vents.
Les humeurs du temps
rythmeront alors les différent airs :
Et, La verve musicale des grêlons d'hiver
Grelotera en mon oreille
désormais en sommeille.