Archives par mois : février 2015

l'évite
L'un verse, l'autre reçoit
mais à l'inverse?
Ça débordes
et tu tombes à la renverse...
De même,l'an vers, allant vers,
verlan :)de même;
l'empire ne peut aller
qu'empirant car seul Napoléon à un bon appart...
de même, dix vers font un jardin?*
il est verdi par des pensées
que l'ont compte bien dépensées.
L'on compense notre idiotie? Vraiment?
Le con pense plutôt pendant que l'un pense
à quoi, l'impensable : l'impense* qu'il aurait du faire.
entre parenthèse le con cerné, lui n'est compris que par la fatigue.
Et le con pris beaucoup sur lui même pour comprendre...
Mais heureusement, il y a le magicien qui peut l'éviter, cet oubli.
en lévithant en s'élevant par la pensée émoticône smile
mais s'élève t-il tout seul seul?
Si jamais le lapin lui en pose un? De problème bien sur émoticône wink
pas le lapin parce que, justement, il a été attraper au collet
et donc il ne pourra pas être là, pour lui poser un lapin.
Pauvre lapin qui repose six pieds sous terre : bon au moins il est prêt de ses carottes...
bref, le magicien devra se débrouiller sans lui, pour apposer les motions :
il devra faire farce à un nouvel adversaire : l'adversités
des diverses cités dans lesquelles ont demande souvent : il a (le) fric
ces diversités on un atout,
elles ont tout, puis qu'elles sont diverses.
Un jardin, de faits diversité
que le maire voudrait transformer en fée d'hiver.
Mais gère t-il tout ça bien?
Il est souvent pris pour une mégère.

L'étroit parc
La vie est parquée :
les trois parques en régissent le fil ;
la vie ne tient qu'à un fil.
De mémoire de Grec, (les moires Grecques) ...
il en a toujours été ainsi.
Lachésis ne perd jamais la mesure
Le sort est assis entre ses mains.
Atropos ne remet jamais aux Calanques Grecques
L'opportunité de clôturer une vie.
Comme le parquet (étroit parc),
elle juge de l'opportunité
des poursuites.

Le ciel à la tête dans les nuages :

il en a oublié la réalité du temps,

et, pour se lever, prend tout son temps.

Il aurait voulu une vie sans nuage.

Le ciel a, ce soir, la tête dans les étoiles :

il en est toute à sa rêverie quand la lune lui sourit.

Il aurait voulut une vie les yeux plein d'étoiles.

Le ciel a plus d'une corde à son arc

pour nous faire voir des astres

et nous faire oublier les désastres.

Le ciel aurait voulut une vie sans parque.

Le ciel a, hier matin, lavé tous ses soucis.

il s'est arc bouté à la terre

pour les mettre en terre.

Le ciel aurait voulu une vie réussie.

Le ciel a, ce matin, mis ses lunettes.

Il est ébloui par la vigueur du soleil

qui lui donne une belle couleur de miel.

Le ciel est, ce matin, bien tête en l'air.

Il doit remettre de l'ordre dans ses idées

et quelques mystères élucider :

il a connu toutes les ères.

Le ciel a, malgré tout, relevé la tête

quand le soleil lui faisait grise mine

et de gris, parfois il fulmine

le ciel aurait voulu une vie sans prise de tête.

Le ciel a, ce matin, les idées bien brumeuses.

Il a passé une nuit blanche

et a drappé la terre d'une nape blanche.

Le ciel aurait voulu une vie fastueuse

Le ciel a eu, aujourd'hui, avec le temps quelques heurts.

Il est passé en cou de vent

et à balayé les ans :

le ciel aurait voulu une vie sans heures. Le ciel a été bien généreux :

il a fait croire pour une nuit

que s'envolaient tous nos ennuis

Le ciel aurait voulu une vie au front moins nuageux.

Le ciel est sur son peiti nuage.

Il a pourtant le regard laiteux : i

l sent les souvenirs capiteux.

Le ciel aurait voulu une vie sans âge.

Ce sont les ciels divers -

Le linge, étendu sur la prairie,

lavé de tous ces mauvais souvenirs,

pense au manteau, dans la penderie

qui aura du, en tant que martyre,

être pendu.

le linge étendu sur la prairie,

se détend sous le soleil d’automne.

il entend, bien malgré lui, les cris

du tapis qui dans la maison tonne.

il a du être battu.

Le linge, étendu sur la prairie,

se demande quand viendra son tour.

il devra, malgré une vie bien remplie,

et tant de doux moments d’amour,

être pendu.

le linge, étendu sur la prairie,

a été témoin de tant d’amour.

pour éviter qu’il ne parle à son tour

que les amants ne soient compromis,

Il a du être battu.

le linge, à ces tristes pensées

préférera, au vent, s’envoler.

 

le dos scié d'acier de pôle emploi

il ne nous sied pas

qu'il s'asseye

sur notre oseille :

Il vacillait sur notre dos

et a scié notre moral.

Il n'est pas d'acier

et nous risquons ne nous le mettre à dos.

Et de ne plus avoir de chemise

à nous mettre sur le dos.

Il est maitre de notre moral.

Nous avons le dos scié

par les nombreux dossier (de pôle emploi :)

que nous épluchons

sur nos dossiers de fauteuil.

l'éveil de la nuit.

Le jour a mis sa chemise de nuit

et a mis au placard tous ses soucis.

le jour lui a, à cet effet porté conseil

que le rêve confortablement s'asseye

la nuit a mis le soleil sous son oreiller.

et a appelé le marchand de sable

pour lui faire confidences sur l'oreiller

ils vont s'assoir sur la plage de sable.

Je suis allé en boite de nuit, lui dit le jour

et est fait la connaissance d'une étoile :

la sève de mes nuits et l'étoile de mes jours ;

Le songe exquis de mes yeux qui se voilent.

Le rêve n'en fermera plus l'oeil de la nuit

Même si c'était une étoile éphémère :

elle en sera l'essieu de ce goût amère

depuis lors, mon coeur est un papillon de nuit.

Le soleil rêve tout le jour de la nuit.

Il a la tête dans les yeux de la nuit :

le marchand de sable, tout en l'écoutant

n'a pas eu le temps de voir passer le temps

il aurait, en partant, oublier quelques grains :

L'aube a du sable dans les yeux.

vers sans nuit, nuit d'encre

versant d'encre pas de page blanche

verre de nuit, vers de jour.

Vers cent nuits d'encre, toute une romance

au versant de la nuit, s'ancre le jour.

S'ennuie le vers sans sois :

il ne s'ancre pas dans le sang.

Vers sang, vers de soie.

Encre de vers, nuit de sang :

palpitant. S'ennuie le temps

vert nuit, nuit de vers :

au versant de l'encre, des mots de tête

s'ancre la nuit de vers

en versant des maux de tête

s'encre les vers sur la feuille.

Vers pomme : souvenir d'automne qui se perd.

Vers d'automne, tisser de fil de laine :

chant des feuilles mortes de Verlaine.