Ingénue d’été

Il fait une chaleur à Déshabiller
Toutes les pudeurs :
Les rires Fleurissent, par nuée,
Les rues inondées de soleil.
Les cils, en ombrelle, papillonnent
D'insouciance sous l'oeil morne
Des vieilles gens qui sommeillent
Ces jeune filles, dévêtues de leur fardeau
Vont gaiement par de la les eaux
Enfourchant leur jeunes Années,
Leur candeur ingénue fait rougir
Le soleil allant s'asoupir
Dans un songe incandescent d'été.

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