Le galopin

Le galopin galopait dans les près
Bien Loin de l'école et de ces heures de colle
Un sourire espiègle ornait,
Ce matin de jour de liberté volée,
Ses lèvres d'enfant innocent.
L'été, s'étitait dans ses pupilles
D'enfant volage et indolent.
Sa paresse se languissait
Dans les eaux qui scintillent :
À quoi lui servait les dieux grecs
Et le philosophe Sénèque ;
Et de savoir la bataille de waterloo
Lui qui se reposait près des roseaux
Que dire des cours de géographie
Et de ces grandes découverte
Lui, qui 'aspirait qu'à courir les prairies
Perdu dans ses pensées vertes
Il n'avait pas vu les heures s'envoler :
Le soleil était allez se coucher,
Laissant place à une lune toute ronde.
N'ayant jamais suivi de cours d'astronomie
Comment trouver son chemin sans personne à la ronde.
Tout en pleurant, par cette chaude nuit,
Il jura à la lune et aux étoiles à l unisson,
Que le lendemain il irai à l'école.
Et dans sa bonté divine, d'une caresse sur l'épaule
Le vent des nuits lui souffla le chemin de sa maison.

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