Vent dhiver

Le vent, à l'œil frais, a ouvert,
Ce matin, la fenêtre ;
Laissant Perler quelques vers
De rosée sur mon être.

La plume, emmitouflée
Dans son manteau de cèpe *
fleurit la feuille du chant des cyprès :
Bientôt arrive le temps des Crêpes*

Les vers, ont, hier soir, laissé
Choir leur tristesse monontomne
sur les page du temps d'automne.

Le Murmure d'une feuille mordorée
S'est immiscé, cette nuit,
Dans mes rêves, sur la pointe des pieds,
Me rappelant, l'arrivée du chant de la mélancolie

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