Te souviens tu
Te souviens tu de ce temps
Qui me manque tant ?
Te souviens tu de nos jeunes années
Que nous avons si vite brûlees
À la flamme de notre insouciance
Te souviens de ces soirs sans prudence
Où nous avons laisser s'envoler
Nos sens de pantin,
De tous ces matins
À la rosée
D'un renouveau
Te souviens tu quand l'aurore
Balbutiait sur les eaux
De la mer méditerranée
Ses premiers rayons d'or.
Et nous, encore tout enivrés,
Laissions le temps secouler
Sur la plage de galets
Comme si demain n'existait pas