Le grog, un peu grogy en son dernier verre
Esquisse une mine, ce matin, patibulaire
Il a attrapeé un rhume des foins
Et cela le rend un tantinet chafouin
Il entend encore, à son tympan brumeux,
Le murmure véreux de cet appel sulfureux :
Comment ne pas résister à ce languisement
Qui l'entraine sur les plage des lentes heures
Puis, le grog, reprend du plomb en son établissement
Et se sentirai comme à l'étroit dans ses rêves falatieux
Le grog est ce matin bien grognon;
Dans l'émoi de ces verres
Il a perdu ces lorgnons