Dans l'imoblilte du temps
Le vent souffle, de tant en tant,
Ces regrets, à mes yeux
Aux Couleur des souvenirs brumeux.
Et, quand l'aube pleure ses rosées matinales
Ils s'évaporent à la lune quittant
La nuit :
Et, Le temps aura esquissé ton sourir
Sous le parapluie des heures endormies.
Tes cils, maquillés de voyages
Batteront leur ailes de ces paysages
Qui s'échappent dans cesse.
Dans l'imoblilte du vent,
Mis sur arrêt par le froid glaçant
De ces silences qui nous unis pourtant,
Nous rattraperons le passé,
Enfoui, loin dans nos rancœur