Le secret des choses (textes corrigé) *

Le vente souffle tant de secretx aux fleurs
Que les prairies sont pleines de Rumeurs ;
Et, quand ces pensées vagabondent,
Bruissent les senteurs qui abondent.

Sur les ailes folâtres de tant de coroles,
Se dandinent tes yeux obscures,
Pareil à une Nuit de deuil que rien ne console.

0, rêve nocturne d'un Songe Éternel
Que le temps, trop souvent délaisse,
Envole toi dans ce champs de promesses
Que battent les vents aux grès de tes soupirs.

Souffle tes derniers râles
Perdus dans la paix de tes yeux assoupis.

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