Il fait un froid polaire Dans l'or bleue pâle
De ses yeux aux couleurs de pierre tombale .
Les jours heureux se meurent dans son cœur froid
Et glacé comme ces nombreuses nuits d'hiver
Et, ces Iris, veuves de toutes images printanières
Se fanaient à ces mots ardent et dur comme la pierre.
Son regard fosoyeur, armait sa verve cauteleuse :
Ses manigances étaient à la hauteur de ces émotions osseuses
Et, dans le silence de sont regard glaçant
Des êtres périssaient à ses mots blessants.
Puis, le vent de la sagesse
Avait séché les engelures
De cet être au cœur aussi dur.
Mais, les années aussi avaient passé ;
Et, c'est dans l'amertume de ces regrets,
Qu'il s'éteignit dans la plus grande solitude.