Une vie

Lucide,
Presque translucide,
De ses pensees transparentes,
Presque apparente,
À tout regard qui sait lire
Qui sait déchiffrer
J'ai su effleurer
Sans blemir
Ton ciel ouvert
À tous les vents
À tout les courants
Tes conflits si divers.
Ils traînent en toi
Ils egrainent leur chapelet de peine
Que tu surmontes avec tant de peine
Le plus souvent tu t'y noies.
Un jour t'es yeux clos
Oublierint ses images fanées
...

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