Visage

sous le feuillage de ta chevelure,
j'entends le ruisseaux de tes anciennes passions
couler le long de tes joues ; la verdure
de tes yeux sombres palpitent de frisson

un vent d4images fait bruisser mon âme :
un contour, un son, remonte à ma mémoire
ébouriffant mes pensées sans état d'âme.
En une autre vie se sont croisé nos regards.

sur le front blême du temps qui passe,
chaque jour, mes souvenirs ressassent
ta voix, ton visage pour ne pas oublier
que tu fus bien réel, que mes yeux ton touché

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