sur un océan

sur un océan de rimes
onduleraient les vers mélancoliques
aux reflets d'argent sublimes
les mots résonneraient comme une supplique
aux doutes parsemés d'angoisse :
et c'est en l'écriture, ma paroisse,
que je trouverai la plus grisante
des étreintes :
dénouant de mon coeur l'oppressante
illusion en en des vers divins,
faisant de mes peur des festins
de réflexions et noyant mes larmes amères.
les vents porteront au loin ces éphémères
sur la terre de mes années mortes
.....
ainsi iront les vers, juchés sur la proue
des humeurs du temps

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>