sève aux courbes d’été

la chaleur, au soupir incandescent
a dévêtu les corps.
les sens, touchés par tant de beauté,
n'osent, de leurs mains,
effleurer les courbes parfaites
de l'ingénu.
c'est yeux malicieux,
voilent à peine ses pensées.
ses muscles saillant,
sous sa sa peau d'eben,
offrent à mon imagination
des voyages que je n'aurai imaginés :
des plages, d'or vêtues,
Où la langueur se prélasse
dans la moiteur de ces instants
sans fin
.....

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