la feuille et l'orfèvre
les mots titubent sur mes lèvres
et trébuchent maladroitement sur la feuille.
éparpillés, c'est à l'orfèvre
avec réflexion,de ciseler sur le seuil
la pensées du vers
des rafales d'arguments atterrissent
en désordre sur la page
que désormais mes rêveries noircissent :
nombre de tableaux d'images
en naissèrent.
il taillera, mdèlera nos songes
pour en faire des images de verres
et tressera, des sillons qui nous rongent,
des rimes embrassées aux reflets Solitaire