le vent vocifère sa colère aux temps ;
dégoulinant des relents dincertitude,
et porté par la chaleur du soleil levant,
pourtant, il nourrissait ma solitude :
souviens toi, lorsque le soleil nous souriait
et que l'aube nous prométait tant de jours radieux ;
puis, les ombres se sont fait jour autour d'un adieux,
ton coeur est parti sur la tombe d'un regret
pour mettre en pièce les lambeaux de lumières
que j'appercevais enfin sur tes paupières
le vent a souuffler sur nos étés :
il effeuillera nos regard amoureux
d'une brise légère sur les vitres teintées
de la mémoire de ces doux temps mélodieux