quand les rideaux s'étreignent, dansent les ombres
à l'orée de mes yeux émerveillé
par la magie des formes réveillées :
fées et chimères en moi arrivent en nombre
elles illuminent mes rêve encore endormis :
farandole d'images, sur les murs
de ma solitudes, me murmure
mes craintes et mes espoirs inassouvis
l'incessant souvenir de toi imaginé
qui rôde, jonche les parois de ces ombres,
mélant d'inombrables pensées sombres.
blésures réveillés par les ombres dessinées,
les fées peu à peu s'assoupissent :
le voile sur mes yeux se hissent.