Je me suis pendu à tes long cils
Maquillés de mascara ;
Mais à chaque battements volatiles,
Mon cœur se froissa.
au marbre de ta peau
d'encre marmorenne
J'ai coulé sous les eaux.
Tes courbes galbées
M'ont enivré.
Mais, déshabillée de ta gaine
J'ai perdu halaine.
Même le reflet
De ta faconde
M'a causé du regret.
Dans mon illusion moribonde
J'ai perdu tout espoir
De te revoir