Dans l'errance de mes mouvements,
Le vent fredonne cette mélancolie :
Celle sur laquelle je m'appuie
Quand, la vie et le temps
Me suuplient
Dans l'errance de mon cœur,
Le temps fredonne ces heures,
Comme une prière
Qui m'appelle à la lisière
De ce moi que je cherche tant
Dans l'errance du temps
Qui épanche sa peine
Sur mon cahier,