Quand tu m’enlaçais

Quand sa voix Enlaçait
Mon cœur,
De ses mots sans pudeur,
Et que mes yeux se fermaient,
C'est toute mon âme
Qui chavirait ;
Nous entrâmes,
Alors, le croyais je
Dans un monde nouveau
Quand, ses yeux Enlaçait
Mon corps, c'est un florilège
De frissons qui se murmurait

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