Quand la lune émiette les derniers murmures
De sa nuit dans mon café allongé dans sa tasse,
Je sens alors tout mon esprit frappé qui se tracasse,
Encore, dans mes sombres pensées muettes ;
Sur les carreaux peu vertueux la de nappe,
Se tartinent, Nichés dans mes yeux,
Quelques souvenirs encore frileux
De mes rêves frappeurs que ma bouche happe
Partie en lune de miel avec le soleil,
Elle gobe les globes trotteur,
Zigzagant sur le planisphère
Se délectant à mesure que l'heure
Avale les mètres gourmandaire
De sombres paysages, sans partage,
Obscurcissent mon humeur doeil délavé