J'ai un hippopotame qui joue du tam tam
Il n'a jamais été sur le nil tranquil
Pourtant, je sais qu'il voudrai y aller
Je le vois bien, dans ses yeux
Que ça lui fait du tord,
Il aimerait tant se reposer au bord.
Il laisserai passer les nuages en voyages
Il laisserai ses petites oreils
Aux moustiques affamés
Quelques goutelettes de langueur indolore
Lui chatouiller ain't le regard,
Perdu au loin
Mais non, il est la, avec moi :
Il paraisse aussi avec ses amis
Et finalement, il n'est pas si mal lotti
Loin de son Afrique natale