Quand une étincelle de toi
Jailli sous mes doigts
Mon cœur saigne des larmes de vers
Et, Je sculpterai pour toi l'éternité.
Dans mes souvenirs lointains, je cuillerai
Ces matins de satin déjà mis en terre.
Je ferai revivre ton âme prisonnière,
Ton cœur si dur et froid comme un cimetière.
Je sécherai tes vanités si obscures
Au chant de nouveaux paysages royaux.
Et, enfin tu te laisseras aller aux joyaux
Que peut offrir une vie sans manucures
Et ton regard impérieux d'aigle senroulera
Dans le matin prtinanier, sur la plume
Qui bourgeonne d'espoirs nouveaux.