La matinée

Le matin étire lentement ses rayons
Sous les paupières du temps encore assoupi
Puis, les réveils, criant à l'unisson :
Le croissant sur la plaque de cuisson
Le café encore allongé dans son lit
Dévale les pentes de mes réflexion encore brumeuses
Emportant dans son courant les derniers orage de la nuit.
Mon téléphone, ma monnaie bien heureuse
De sortir par ses temps dennuie
Mes écouteurs, qui ne m'écoutent jamais
Visés à mes oreilles :
Le miel
De mes vers.
Au grand air,
Le vent claque la porte
Sur les derniers grain dun sommeil agité
Me voilà sur la trottoir, short basket
Chronomètre à zéro,
Ma rage fera cette fois rectte

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