En court de géomètrie,
Je n'ai jamais rien compris :
Le maître prenait ses grands airs.
Et les courts d'arithmétique,
Qu'elle gymnastique.
Sous le regard sévère
De la map monde
Se reposant sur l'étagère,
Je perdais ma faconde :
Je laissais alors dériver
Les continents au son
De la voix enrouée
Du professeur moribond :
Christophe colomb
Avait Peté un plomb,
Vasco de gama
faisait son cinéma
Et Jack quartier
Epluchait les rues
Du Canada branchées
Et moi, tout émue,
Je n'avait découvert,
Au font de mon cartable
Que Quelques lambeaux regrettable
de ciel couverts
Archives par mois : février 2024
Les écoliers
Les gens de la forêt
Quand la forêt penche ses feuilles
Au son du vent qui gémit,
C'est tout le bois qui commence sont deuil :
Son esprit Coloré d'or se Blotti
Sur les cahiers des écoliers :
rosée de safran Brodaient par les encriers,
Souvnit d’ailleurs
C'était un peu avant l'été
Il avait encore neigé,
Recouvrant d'un grand
Linceul blanc
Les pleines de sa mémoire
Elle avait eu tant de déboires
Comme un tableau
Qui perpétuellement se déchire
La fureur des eaux
Dans la fureur de l'orage
Qui naissait,
Les comtrées
Avaient plié bagages
Flor et faune,
À l'aulne
De ce mauvais présage
Se tapissaient
Dans les feuillages.
Des flots ravageurs
S'annoncaient.
Tous tremblaient de peur !
Neputune, avec un sourir nautique
Avait défié jupiter
De cette guerre des dieux,
La malheureuse terre
En serait la victime balistique.
Raisonnèrent alors
Les grondement de cette guerre.
Puis, dans les airs
Et dans les ports.
Tout s'apaisa :
Sous le calme retrouvé,
Les plantes goûtaient
Aux repos.
Elles gouttaient
De toutes les eaux
Que Neptune et jupiter,
Dans leur divine colère
Avaient laissé déferler
Dans les pleines et la vallée.
Sur le flanc de la colline
Sur les flancs onctueux
Du flanc délicieux
Que mes yeux
Convoitaient avec malice
Quel ne fut le supplice
De voir une pluie de poix
S'accrocher aux parois :
Ma gourmandise fut stoppée.
Sur le flanc de la colline
Aux contours gélatineux,
Je peine gravir des yeux
Tout cette sucrerie assassine.
Car, pour être honnête
Je ne suis pas poète,
Et, j'ai peur de faire un flanc
Avec ce texte perturbant.
Le murmure du samedi
Le chant du matin balbutiait
De ses premiers rayons,
Embrasant l'horizon
De mes paupières ensommeillées.
Bientôt reviendrai,
À mes oreilles Meurtries
Le silence du samedi :
Car, Mon cœur chantait,
Voyez-vous
il n'y a pas si longtemps,
Les rêves fous
De ce jour fascinant :
Dans les temps anciens,
Je prenais le train,
Volant vers mon gagne pain.
La plupart des gens civilisés,
Eux dormaient !
Dans ces temps lointains,
J'imaginais mon samedi matin
À rêvasser des heures
Loin de non sur labeur