Le murmure du samedi

Le chant du matin balbutiait
De ses premiers rayons,
Embrasant l'horizon
De mes paupières ensommeillées.
Bientôt reviendrai,
À mes oreilles Meurtries
Le silence du samedi :
Car, Mon cœur chantait,
Voyez-vous
il n'y a pas si longtemps,
Les rêves fous
De ce jour fascinant :
Dans les temps anciens,
Je prenais le train,
Volant vers mon gagne pain.
La plupart des gens civilisés,
Eux dormaient !
Dans ces temps lointains,
J'imaginais mon samedi matin
À rêvasser des heures
Loin de non sur labeur

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