Archives par mois : avril 2017

en lieu et place
de l'endroit
ou j'ai vu, à mille lieu
de l'espoir,
j'ai vu les aveux dérisoires :
les aveux du temps
ont fondu pendant tous ces ans
les liens et il les a déplacés
en des lieux à jamais,
pour nous deux,
perdu dans nos cieux.
j'ai tenté pourtant de les rapiécer ;
tous les lieux mérveilleux
que j'avais fait en ton endroit
sont désormais pour mes yeux
qu'un vague souvenir

un certain Monsieur sûr
était certaint
il était sûr d'être certain
mais sur certaines chooses
il n'était pas sûr
car cetaines choses
semblaient ne pas être sûre
et ces choses lui susurrent
de bon matin
de se méfier
de ce qu'il y a en dessous :
de sous ce quil est censé
être pour nous,
le plus sûr
que le sur
ne soit plus très sûr
il est devenu certain
qu'il n'était plus sûr
sur tout ce qui était incertain
surtout de bon matin

la reprise de contact
la prise est, ces temps ci, très éprise :
il y a eu comme un cout de foudre
depuis la reprise
et depuis, ce n'est pas facile à résooudre
elle est toujours au courant de tout
même des coupures les plus insignifiantes
mais une peite blessure peut être tout :
elle s'infecte de regrêts qui nous hantent.
il ne faut alors pas lacher prise
et garder le contact
avec beaucoup de tact
et alors, parfois, c'est la surprise
......

c'est le regard afuté,
que le chat éguise son appetit
il lorgne, dans le salon de thé
cette toute petite souris
inconsciente du dangé.
et c'est en en chasseur averti,
du fard d'un inocent benêt
qu'ii déguise ses yeux aguéri
Le petit animal, lui sourit.
le chat alors, sous l'esquisse
d'une confience,
et sans vergone lui lance
le dernier murmure de l'inconscience

sous le feuillage de ta chevelure,
j'entends le ruisseau de tes anciennes passions
couler le long de tes joues ; la verdure
de tes yeux sombres palpitent de frisson

un vent dimages fait bruisser mon âme :
un contour, un son, remonte à ma mémoire
ébouriffant mes pensées sans état d'âme.
En une autre vie, se sont croisé nos regards.

sur le front blème du temps qui passe,
chaque jour mes souvenirs ressassent
ta voix, ton visage pour ne pas oublier
que tu fus bien réel, que mes yeux t'on touchée

que serai-je moi, sans toi ;
mon coeur, aurai si froid
sans ton abris voluptueux
qu'aurai-je été, sans leur rire moqueur
qui ont tué, de ma vie, tant d'heure
quel moi aurai-je pu être être
si tu avais pu être
auprès de tant de mois
que je ne sais toujours pas quel être
se cache en moi
et toi qui aurais tu été sans ce moi (s) de décembre
si tu ne m'avais pas laissée sur le bord de ta vie
toi, qui me la donnée, et moi, sans le vouloir
j'ai pris la tienne et celle des tiens
mais toi, souvent, je le sens
tu créer des leurres
pour oublier tous ces longs mois
ces longues années
d'abscence :
mon absence à toujours, malgrès toi,
été sous ton toit
comme une peitie flamme
que tu n'arriverais pas à éteindre

A demain mon passé,
je te retrouvait tôt ou tard
car c'est derniers jours
tu t'es surpassé
hier encore, je recevais un présent :
ce présent qui hier encore me faisait frémir
aujourd'hui, ce présent, est un peu dépassé
mais ll n'est pas trop tard pour récupérer le passé :
tot ou tard, il sera bientot temps
le temps sera bientot là
pourqu'il ne soit pas trop tard
que tu viennes attends
ta venue, et cela déja,
tu le savais, s'est faite avec un train de retrad
il faut dire qu'avec tout ce brouillard,
il y a avait de quoi se perdre en chemin
le train s'est égaré, il s'est trompé de gare
et a chemminé quelques temps, vers des instants incertains

sans fronière

une larme d'indifférence a d'abord
coulé sur le front de la déception
oh, sang qui coule dans tant de mes passions
quelle est donc la couleur que tu arbores ?

un puit de différences s'est fait jour,
ai-je cru, au premier regard apercevoir
déversant en mon coeur gonflé d'espoir
une tristesse qui,mes joues, laboure

puis, sans raison, ton enivrant dard
a ensorcelé toutes mes envies
naissaient pour toi mes larmes d'amour

jamais je n'oublierai un certain jour
depuis lequel une fragrance de nostalgie
orne désormais nombre de mes regards

un verre a pris de la bouteille :
avant ce n'était qu'un petit verre
il fleurissait les esprits de vers
et fanait les idées noires
puis ce verre s'est agrandit
à en devenir une bouteille
la bouteille fanait les vers
car, trop remplit
il noyait la fleur des yeux
et les cernait de la fatigue du regret

..........