que serai-je moi, sans toi ;
mon coeur, aurai si froid
sans ton abris voluptueux
qu'aurai-je été, sans leur rire moqueur
qui ont tué, de ma vie, tant d'heure
quel moi aurai-je pu être être
si tu avais pu être
auprès de tant de mois
que je ne sais toujours pas quel être
se cache en moi
et toi qui aurais tu été sans ce moi (s) de décembre
si tu ne m'avais pas laissée sur le bord de ta vie
toi, qui me la donnée, et moi, sans le vouloir
j'ai pris la tienne et celle des tiens
mais toi, souvent, je le sens
tu créer des leurres
pour oublier tous ces longs mois
ces longues années
d'abscence :
mon absence à toujours, malgrès toi,
été sous ton toit
comme une peitie flamme
que tu n'arriverais pas à éteindre