Dans la mémoire des chrysanthèmes
Il y a tant de je t'aime
Qui se sont fanés au bord des iris
Dans le terreau humide des souvenirs
Fleurissent tant de peine qui nous épuisent
Non classé
Espace temps
Dans la coubure de l'espace temps,
Je voyais la gravité osciller :
Son phisisque imposant
Malmenait l'alchimie recherchée
Les contours lointains
Dans le feuillage de tes cheveux
Pareil à des nuages sablonneux,
Tu souris à la vie
Sans âge et sans verni
Tu ris
Ton sourir enfantin
Cache ton âge lointain.
Dans les pleines du recuil
Dans les pleines fertiles du receuil
Des plumes de pensées
Poussaient à la volée
Pour tout engrais, Elles avaient les écueil
D'un cœur déchiré et facétieux
Quand le temps, sur les champs,
Se faisait heureux et malicieux
Ellles pensaient à Boris Vian
Une vie volée
Dans l'innocence Printanière
De ces yeux
J'y ai vu des jeux
Fleuris d'aquarelles
Et de marelles
Dans l'innocence volée de ces yeux
J'y ai vu une maquerelle :
Elle a vernir de concupiscence
Le sourir et les sens
De cette jeune rose
Aux paupière à peine éclose
Dans la souffrance de ces yeux
J'y ai vu tant d'adieux
Dans l'éternité de son égard
Figé
J'ai y vu un vie volée
Ce fut un samdi
Aujourd'hui, ce fut samedi :
Un jour, qui dans l'oubli
De mes jours heureux
S'est perdu dans les
Couloirs filandreux
De ma mémoire.
Un jour aux écho silencieux
De tous ces moments heureux.
Loin perdu dans le déchirement
D'un choix, je n'ai plus le temps.
Aujourdui, ce fut un samdi
Parfumé de mélancolie
Dans l’errance
Dans l'errance de mes mouvements,
Le vent fredonne cette mélancolie :
Celle sur laquelle je m'appuie
Quand, la vie et le temps
Me suuplient
Dans l'errance de mon cœur,
Le temps fredonne ces heures,
Comme une prière
Qui m'appelle à la lisière
De ce moi que je cherche tant
Dans l'errance du temps
Qui épanche sa peine
Sur mon cahier,
Il pleut dans ma mémoire
Il pleut dans ma mémoire
Des images de ces soirs
D'hiver au coin du feux :
Il pleut dans mes yeux
Ce souvenir délicieux
Dont je ne puis guérir:
Une pluie de souvenirs
De toi, comme dans un rêve
Qui jamais ne s'achève
Etreindra sans fin
Mes matins aux couleurs de chagrin.
Il pleure dans mes nuits
Des étoiles filantes :
Au fond de mon café
Aujourdui c'est samedi,
Et J'ai cueilli,
Dans mon café
Encore allongé,
Quelques poussières
D'étoiles filantes :
Sous l'eau claire
De ce breuvage sauvage
Ma nuit me hante :
Le ciel ruisselait
Dans mes yeux songeurs :
D'heure en heure
Je rêvais que je survolais
Ma semaine
Qu'avec grande peine
J'avais enterrée
Aujourdui c'est samedi
Et je me suis assoupie
Le nez dans mon Cafe allongé...
Dans le vermeil
Dans le vermeil du jour se levant,
Des poussières D'étoile
En gouttes dor, tombaient en pleurant.
La nuit enlevait son voile :
Le murmure du soleil
Carrressait la courbe vermeil
De la colline encore assupie:
Un frisson parcouru alors le cœur
De la forêt encore enseveli
Par tous ces rêves de douceur :
Elles étaient témoin de la dance complice
Des nuits et des jours qui enlace les champs
De la valse créatrice
Du temps