Dans le grand silence blanc
De ces nuits d'hiver
Où le temps,
Souffle ces vents polaires,
Les roseaux dans leurs cercueils de vers,
Déprissaient dans dans leur vase givré.
Les oiseaux, quant à eux,
Regardaient de leurs yeux
Devenus Ronds,
Les poissons
Qui voltigeaient.

Au son des cornemuse,
L On s'amuse.
En vertuose de la prose
Les pieds dansent
au rythme des saisons
À l'union,
Les fleurs exhalent
Des pétales
De notes aux courbes généreuses

Coupé la parole
Hier, la parole a été coupée,
Causant des maux sanguinolent
La phrase, tronçonnée,
Pleurait ses sujets :
Dans le silence frappant,
On pouvait soupçonner
Le sens des mots
Courir dans tous les sens

Dans le bleu profond
De son regard ocean,
Pareil à un tourment,
Les vents vagabonds
Agitaient sur son front
Les ancien paysages :
Le petit matelot, aux yeux de bateau
Laisserait , au matin encore bleuté,
S'en aller, par de la les flots
Ses rêves satinés ;
Car bientôt, il irait au front,
Et son ciel sera sans présage.
Il Laissera la traîne
D'une vie inachevée
Ecumer
Le rivage des pleines.

Son regard de renard
Ensanglantait les près
Imaginant les traquenard
Où poules et poulets
Se Laissaient bêtement piéger
Son festin était à portée de patte
Il salivait à l'idée
D'une bonne Tourte à pâte

En ce moment
Ma plume est silencieuse
Figée dans l'instant
Bien oublieusee
Des mois passés
Tournée vers les pensées
De mon petit fichier
En téléchargement
Et la dessus marsupilami
Se fait bien du souci
À chaque instant,
Je vois son regard rieur
Se faner dans les lentes heures...