les pensées, doucement dans le poème,
s'immiscent : elle entrent sur la pointe des pieds
entrelacant les rimes de je t'aime,
mettant toutes les émotion sur un trépied
melant parfois hummour et tristesse;
est mise, bien souvent, la détresse
sous le vers de la dérision :
mise en pied vers d'illusion
les maux, flétrissant l'avenir de nos heures
le poème, par un bon cou de pied
habille de vers les mot qui leur scied.
les mots viennent fleurir le jardins
de nos espoirs futurs entérés en nos coeurs
et mettent en perspective nos matins