Ma mie, je ne saurai vous dire
Dans le soupir
De mes pensées
Combien vous me plûtes
Avec Votre chevelure hirsute
Et désordonnée.
Vous me mîtes en émoi
Quand votre joli minois
Fardé de ses timidités
Insinuait une autre réalité.
Le galbe de vos bras
Et vos bas De soie
Me mirent, à votre égard,
en de tendres dispositions.
Puis, sans crier gare,
Sous d'autres vibrations
Le chant du cop m'emena
Vers d'autres bras