Dans la rue aux feuilles mortes,
Il y a une maisonnée
Aux yeux toujours fermés.
Personne ne pousse jamais la porte.
Habillée de toiles d'araignée
Et de l'oubli, la forêt
Entend encore le passé
Qui souvent résonne
Du bruit de ses sanglots.
Sous le temps qui a fui,
On peut entendre, dans la nuit,
Le murmure de se lourd fardeau