La fiancée du café

Quand la lune s'installe sur les reflets
Des eaux, et qu'elle laisse rider
Ses croissants dans la profondeur
De la nuit noir de mon café,
Emerge alors de leur leurre
Les iris encore envoûtées
Par toutes ces d'heures
Naufragées dans les bras
Si doux d'Hypnose.
Mes cils, pareil à une fleur,
À peine éclose,
S'éveillent alors au vent
des arômes.

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