Grelots de solitude

Il grelotte tant et tant de sanglots chanteurs
Sur les vitres délavées de la nuit,
Que le temps soupire des mélodies.
Il chante tant de temps obsucres dans les cœurs
Qu'ils ne voient plus les timides pas du bonheur.
Sous l'oeil claire de la lune blonde
Qui ruisselle sur les épaules des passants
Au regard morne, d'aucun ne sonde
La beauté des couleurs du soleil se levant.
Pourtant, il fredonne son chant parfumé
Tous les matins à qui sait l'entendre;
Il Grelotte tant d'heures froides sous la fumée
Des heures grise de cette ville endeuillée
Que même les rayons n'arrivent à percer
Les mystères de la solitudes humaine

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>