Le temps, arraché à sa rêverie
des événements déferlant,
En oublierai presque le cliqueti
Des aiguilles en relent.
Un grain de sable,
Sous couvert affable
Et chronophage
A englouti les âges.
Ce parfum, pourtant profond,
Étreint les minutes de lennuie
En une vague de nuit
Que seul, les derniers soupirs illuminer ont
De leur repos apaisés.