Archives par mois : mars 2015

Cou cou

Le cou coud un mauvais coup

Il veut tordre le cou au cou de soleil

Qui lui a été porté au cou.

Ses rayons, couleur de miel

Se sont jetés à notre cou.

Il attire les gens, telles des abeilles

Et sans coup férir, il nous porte des coups,

C’est un vrai cou, fourré de coup de soleil.

Il nous lance comme ça des coups de feu

Qui sur le coup nous rendent bien malheureux.

Mais le cou, lui, tient le coup :

Il ne va pas prendre ses jambes à son cou :

Il va jeter un coup d’œil, aux autres cous

Et leur demander un coup de main

Il faut prendre les choses en main :

Que tous les cous soient dans le coup :

Tous les coups sont permis

nous allons parer les coups ennemis

Quoi qu’il en coute !

Voilà ce que c’est que de marquer le coup de l’été, sans se méfier

On risque de prendre un coup de vieux

Mon dieu, que de coups bas

 

Un pot, malgré son humer fleur bleue, était sot.

De tous les appels de la raison, comme un pot

il en était sourd. Son triste destin du sceau/
De la rêverie été grave dans ses eaux.

C'était un pot plein d'ambition,qui,en un sot

du hasard voyait faner le coquelicot.

Tous Ses espoirs poussaient en fertile terreau

le temps flétrissait presque toujours ses naseaux.
Avec tous ses sauts d humeur du hasard, le pot,

un peu dépité est devenu empoté :

la racine de ses rêves dépérissait.
Ne voulant plus subir les assauts
Du destin,il enterra tout dans un silo.
Ce malchanceux pot est devenu un sot ne

Le rat d'eau du barrage

Il ampère le courant ;

Ses relations sont électriques :

Sans eau, il devient un radeau

Il n’est plus au courant :

Il en perd le contrôle ;

Il ne gouverne plus la barre :

Il louvoie.

Le bar contrôle son débit

mais pas son tyran d’eau

Le barrage est son tyran :

Il rabote son humeur :

La cité des égouts

Le beau rat lui

est dégouté :

Il visite les égouts

et vis les goûts

des cités.

Quel manque de goût

se dit le ragoût.

Mais ça lui permet

de gouter à tous les râteliers.

Vaut il être rat d'égout

rat des champs

où rat d'opéra ?

Si ce sont les champs élysée,

en temps que président, oui :

Si c'est l'autre, le fleuve de l'enfer

La cuisine doit être moins bonne.

Des tensions

Ma tension a augmentée :

Il a mis son grain de sel.

Par la suite, j'ai manqué d'attention

et me suis retrouvée, à cause d'elle

En détention.

Je n'avais pourtant pas de mauvaise intentions.

Je craint aussi pour ma rétention de sucre :

L'on risque de me sucrée la place que je convoitée.

Je suis pourtant pas tout de sucre,

mais cela risque de me mettre en dépression

mais aussi sous pression :

comment récupérer ma place et des missions :

je ne voulais pas démissionner.

Voilà ce que c'est que l'omission d'attention

Le jour sans nuit, s’ennuie le jour

car il n’aurai pas eu de rêve.

Il a la tête dans la lune,

car la nuit n’a pas pu la lui décrocher :

le jour sans nuit, s’ennuie le jour

et Il va se languir sans trêve

Du miel de ce croissant de lune

Avec ardeur il s’y était accroché

Le jour sans nuit, s’ennuie le jour

Le jour n’est pas bien réveillé

Il serait sur son petit nuage :

l’éveil serait bien encore ensommeillé

le jour sans nuit, s’ennuie le jour.

Ainsi il étreint son oreiller

La lune fut dans les nuages

Les pensées orageuses se sont réveillées

Le jour sans nuit, s’ennuie le jour

Il a la tête dans les étoiles

Elles auraient voulu un lit de rêves.

 

Je vais vous parler d'une société ; il y a bien celle des bulles qui papautté ; celles là été animées par un dessein religieux

il y a aussi la société des boom : papy boom, baby boom, betty boom, dany boom...

mais aujourd'hui je me penche ou plutôt m'épanche sur celles des cons.

le con sidère l'intelligent

qui lui ne le considère pas

car le con part souvent au mauvais endroit

car il ne compare jamais les bons endroits

c'est pourquoi l'intelligent est déconfit.

Il en prends pour son grade et est dégrader au rang de con :

ainsi, Le con prend beaucoup sur lui

malheureusement, il ne comprend pas souvent :

Ça lui prends plus de temps

ainsi le con et cerné mais rarement concernés.

Seulement par la fatigue.

Souvent, à trop réfléchir, il se transforme

en congère car le con gère pas du tout.

Et ça nous laisse de glace.

Le con perd même ses amis.

Comment l'aider ?

Par une récompense ; peu être que le con pense

que ça compensera son idiotie.

le con, cassé par son idiotie,

aspire a plus d'égard, c'est pourquoi,

Le con court après l'intelligence :

Mais ça ne concourt pas à élever la société.

Surtout que quand le con forme des pensées

elles ne peuvent pas conformes à celles voulues par l'intelligence.

Ainsi, l'intelligent est rapace et le con dort.

Bref c'est une conspiration contre lui.......;)